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c)Articles et photos « L’ECHAFAUDAGE » 2009

 

L’ÉCHAFAUDAGE

Écriture et mise en scène Marc LOUPIAS

avec : Martine ASSENAT, Gérard BALARDELLE, Jeannette BONIN, Laure CALATAYUD , Christine COURSIMAULT, Anne-Marie GALLIERE , Marc LOUPIAS, Isabelle PONCETTA .

Costumes : Christine Coursimault

Régie lumière : Gisèle LOUPIAS

La Pièce :

Un échafaudage : poste d’observation d’une femme qui observe, scrute. Une valise volée plusieurs fois, autour de laquelle se retrouvent des personnages suspects. Napoléon qui a investi les lieux et semble tout savoir des uns et des autres.

Un spectacle de marionnettes pour réconcilier voleuses et volées. Voilà les faits marquants de ce spectacle qui met en scène des individus dignes des bas-fonds.

Cette pièce comique commence paradoxalement comme du Becket mais s’achève comme un pastiche d’une pièce policière de boulevard.

 

Durée : 80 minutes

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Le Théâtre du Hangar présente « L’ECHAFAUDAGE »

Le théâtre du Hangar vient nous présenter sa dernière création : « l’échafaudage ». De quoi s’agit-il ? Une scène quasiment nue. Une femme sur un échafaudage observe le lointain.   Une autre femme  arrive sur scène portant une  valise. Intriguée elle rejoint la première qui se livre peu à peu, jusqu’à évoquer la mort de son fils. La valise disparaît pendant cette conversation. Napoléon qui vit au pied de l’échafaudage semble tout maîtriser : les entrées, les sorties, les agissements des uns et des autres et surtout la valse des valises. « Ces valises qui nous amènent  toujours quelque part et  ont même des roues pour nous conduire plus loin » comme l’affirme la première femme que  tout le monde trouve étrange. « Mais des gens bizarre, il y en a plus que des œufs sous le cul des poules » rétorque la comparse de la voleuse de valise.

Apparaissent  deux marionnettistes qui vont, leur problème réglé, présenter leur spectacle à ces gens de la rue ; une animation de poupées, une mise en situation de personnages et de figurines diverses, au service d’une histoire d’amour  entre Pierre et Colombine.  Les personnages et leurs actes trouvent enfin du sens. Mais un hurluberlu vient bousculer la quiétude qui s’installait et l’histoire rebondit.

Cette pièce comique commence paradoxalement comme du Beckett  mais s’achève comme un pastiche d’une pièce policière de boulevard. 

 

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 Article 2

Le théâtre du Hangar vient vous présenter sa dernière création : « l’échafaudage ».

De quoi s’agit-il ?

            Une scène quasiment nue représentant certainement une petite place où débouche une voie sans issue .

            Une femme sur un échafaudage observe le lointain. Présence insolite qui se fond pratiquement dans le décor. 

            Une deuxième femme surgit sur la place. Elle porte une  valise et semble intriguée ou gênée par cette présence. Elle rejoint la première femme sur l’échafaudage. Cette dernière la reçoit froidement, puis se livre peu à peu, jusqu’à évoquer la mort de son fils. La valise disparaît pendant cette conversation.

            Napoléon, une sorte de SDF épris d’histoire, vit au pied de l’échafaudage. Il semble tout maîtriser : les entrées, les sorties, les agissements des uns et des autres et surtout la valse des valises. En effet deux « ladronas » arrivent à leur tour, pour explorer le contenu de la valise volée.

            « Ces valises qui nous amènent  toujours quelque part et  ont même des roues pour nous conduire plus loin »« Mais des gens bizarre, il y en a plus que des œufs sous le cul des poules » rétorque la comparse de la voleuse de valise. comme l’affirme la première femme que  tout le monde trouve étrange.

            Apparaissent enfin deux marionnettistes qui vont, leur problème réglé, présenter leur spectacle à ces gens de la rue ; une animation de poupées, une mise en situation de personnages et de figurines diverses, au service d’une histoire d’amour  entre Pierre et Colombine.  Les personnages et leurs actes trouvent enfin du sens. Mais un hurluberlu vient bousculer la quiétude qui s’installait et l’histoire rebondit.

            Cette pièce comique commence paradoxalement comme du Beckett  mais s’achève comme un pastiche d’une pièce policière de boulevard. 

Pour tous les publics.

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Une réponse:

  1. Rouillé écrit:

    félicitations à tous, nous avons bien rigolé, j’ai apprécié votre répartie pour vous adapter aux difficultés techniques qui se sont présentée le vendredi soir à Marvejols!
    Ce sont vraiment des spectacles de qualité, des acteurs qui valent les meilleurs, pour un prix modique vu mon pauvre pouvoir d’achat…
    Je m’étais dis « encore une valise… » mais même la valise comme les acteurs ne joue pas le même rôle d’une année à l’autre…
    Mille bravos et merci pour cette soirée inoubliable.
    Maryvonne et Henri

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